La collégiale St Gal photographiée côté clocher et côté porche représente une part importante des cartes postales anciennes de la ville. Cela montre bien l’importance quelle avait début XXème siècle dans la vie de la ville.
Sur le cliché de gauche on constate la présence de plusieurs bâtiments qui ont disparus.
Certains négatifs ont fait l’objet d’une utilisation répété dans le temps. Entre le plus ancien à gauche et le plus récent à droite, 30 années se sont écoulées…
Ils ont aussi parfois été utilisés par des éditeurs différents. A gauche une édition de Mme Carrot , buraliste, à partir d’une photo Combier, à droite une réédition Combier.
Ci après une reprise d’un même cliché par ELNO et Margerit Brémont. Ce genre d’opération étaient alors très courante, avec parfois des impressions colorisées.
L’intérieur de l’église n’a pas échappée à l’objectif des photographes. Des détails, ou du mobilier ont aussi fait l’objet de tirages en carte photo, tel le lutrin, la mise au tombeau ou les sculptures des stalles.
Deux vues différentes de la « Mise au Tombeau » du Christ, encadrent un panneau de bois sculpté provenant du cœur, qui représente Adam et Eve.
Le portail de l’entrée est lui aussi apparu en carte postale. Mais qu’est devenu la grande croix de pierre qui ornait la façade à gauche du porche? Elle a été démontée lors de la dernière restauration de la façade.
Remarquez le pignon de la façade. Sur deux photos il est surmonté d’une croix monumentale en pierre. Sur le cliché central probablement le plus ancien on note la présence d’un clocheton!
C’était avant la construction du tout à l’égout, et les vespasiennes n’avaient pas été démolies.
Sauf erreur, il n’y a jamais eu de pont construit par les romains à Langeac! Mais de nombreux ponts sont désignés comme romains car ils ont été construit
selon des techniques héritées des romains.
Plus récemment l’Eglise est restée une source d’inspiration et une valeur sûre pour les photographes